Christiane Montdor - Qui suis-je ?
MON ENFANCE – MES PREMIERES PERCEPTIONS.Je suis née en Lorraine, il y a un peu plus de soixante ans, j’y ai grandi imprégnée des habitudes simples de la campagne, mais dans des conditions familiales particulièrement difficiles. Aînée d’une très
grande famille puisque douze enfants suivront. Ma vie a commencé sous des auspices plutôt sombres et après tout ce chemin parcouru, je peux dire que rien ne m’a été épargné. (Pas même le décès de mon fils
Nicolas 31 ans.)Très jeune déjà, ma lucidité et ma maturité suscitaient l’étonnement autour de moi, que ce soit mon entourage familial, celui de l’école, ou le voisinage ; j’aimais les études, elles étaient
un refuge en même temps qu’une source qui m’enrichissait. J’ai vécu une enfance torturée, j’ai grandi dans la peur, la violence, entrecoupée de plages plus calmes mais toujours très courtes.Parmi ces pauses,
il y avait mon arrière-grand ’mère, petite vieille que j’aimais beaucoup, toujours habillée de longues jupes et tabliers noirs et coiffée d’un chignon blanc ; c’est avec elle que j’allais bénir les morts du
village, même ceux que je ne connaissais pas, un rituel qui ne me dérangeait pas. Je me suis donc familiarisée très tôt avec cette odeur qui m’a surprise un jour, en allant à l’école ; je devais avoir 8
ou 9 ans, quand j’ai été saisie en pleine rue par cette sensation si caractéristique, me disant : « il y a un mort ». Effectivement, j’ai appris le jour-même le décès d’un voisin.
Peu à peu, j’ai pris conscience de cette faculté étrange qui me permettait également de savoir ce que les gens pensaient. Je devinais leurs intentions, j’avais l’impression de « déshabiller » leur coeur et leur âme ; moi, petite fille d’une dizaine d’années, on se confiait à moi, on sollicitait mes conseils, on tenait compte de mes avis, ce fut encore vrai plus tard au collège puis au lycée avec certains professeurs ; en fait, tout se faisait d’une manière naturelle, spontanée, rien de calculé.On me sollicitait beaucoup ; je n’ai pas eu l’insouciance de l’enfance, pas les plaisirs de la jeunesse, mais je nourrissais au fond de moi une grande spiritualité ; j’avais un profond besoin de prières, de me relier à Dieu. On s’adressait à moi parce que je comprenais les situations, j’apportais l’apaisement ; j’exprimais ce que mon esprit recevait à ce moment-là et transmettais ces messages si rassurants.
DES PRESENCES INVISIBLES ET DES MANIFESTATIONS.
Plus tard, en janvier 1986, je suis venue m’installer dans la banlieue toulousaine où je suis toujours. Une décision guidée par une intuition forte : il fallait tourner la page et trouver le soleil qui me manquait tant depuis toujours. En ouvrant ce nouveau chapitre de vie, d’autres manifestations se sont multipliées et ont pris de l’ampleur. Des présences invisibles et douces se sont pressées autour de moi, on me touchait la main, on me frôlait ; il y avait aussi les objets qui se déplaçaient, on frappait à la porte, on sonnait, les appareils électriques se mettaient en marche tout seuls, la musique, la télé s’allumait, les photos sur les meubles changeaient de visages, bref, un tourbillon de choses qui parfois, m’inquiétaient un peu, je l’avoue. Il faut dire qu’on ne parlait pas autant qu’aujourd’hui de ces phénomènes. Tout comme cette douleur sourde et persistante que j’avais depuis toujours dans le bras et le poignet, gagnant parfois les doigts. C’est en me rendant dans une grande librairie toulousaine, que par un « hasard » extraordinaire, j’ai trouvé un livre, posé sur une marche d’escalier de ce magasin : « le livre des médiums ». Je n’avais jamais entendu parler de ce livre ni de son auteur, Allan Kardec. En feuilletant la table des matières, j’ai compris l’importance qu’allait avoir ce livre, un des cadeaux de ma vie. J’y ai trouvé toutes les réponses et notamment, lors du passage des médiums écrivains, la douleur sourde de mon bras a gagné en intensité, mes doigts ont tremblé, à ce moment, j’ai compris : il fallait que « j’accepte » d’écrire ; dès ce moment, cette gêne qui ne m’avait jamais quittée a disparu ; c’est quand « on m’appelle » qu’elle revient, c’est-à-dire lorsque je dois prendre un message.
Peu à peu, j’ai pris conscience de cette faculté étrange qui me permettait également de savoir ce que les gens pensaient. Je devinais leurs intentions, j’avais l’impression de « déshabiller » leur coeur et leur âme ; moi, petite fille d’une dizaine d’années, on se confiait à moi, on sollicitait mes conseils, on tenait compte de mes avis, ce fut encore vrai plus tard au collège puis au lycée avec certains professeurs ; en fait, tout se faisait d’une manière naturelle, spontanée, rien de calculé.On me sollicitait beaucoup ; je n’ai pas eu l’insouciance de l’enfance, pas les plaisirs de la jeunesse, mais je nourrissais au fond de moi une grande spiritualité ; j’avais un profond besoin de prières, de me relier à Dieu. On s’adressait à moi parce que je comprenais les situations, j’apportais l’apaisement ; j’exprimais ce que mon esprit recevait à ce moment-là et transmettais ces messages si rassurants.
DES PRESENCES INVISIBLES ET DES MANIFESTATIONS.
Plus tard, en janvier 1986, je suis venue m’installer dans la banlieue toulousaine où je suis toujours. Une décision guidée par une intuition forte : il fallait tourner la page et trouver le soleil qui me manquait tant depuis toujours. En ouvrant ce nouveau chapitre de vie, d’autres manifestations se sont multipliées et ont pris de l’ampleur. Des présences invisibles et douces se sont pressées autour de moi, on me touchait la main, on me frôlait ; il y avait aussi les objets qui se déplaçaient, on frappait à la porte, on sonnait, les appareils électriques se mettaient en marche tout seuls, la musique, la télé s’allumait, les photos sur les meubles changeaient de visages, bref, un tourbillon de choses qui parfois, m’inquiétaient un peu, je l’avoue. Il faut dire qu’on ne parlait pas autant qu’aujourd’hui de ces phénomènes. Tout comme cette douleur sourde et persistante que j’avais depuis toujours dans le bras et le poignet, gagnant parfois les doigts. C’est en me rendant dans une grande librairie toulousaine, que par un « hasard » extraordinaire, j’ai trouvé un livre, posé sur une marche d’escalier de ce magasin : « le livre des médiums ». Je n’avais jamais entendu parler de ce livre ni de son auteur, Allan Kardec. En feuilletant la table des matières, j’ai compris l’importance qu’allait avoir ce livre, un des cadeaux de ma vie. J’y ai trouvé toutes les réponses et notamment, lors du passage des médiums écrivains, la douleur sourde de mon bras a gagné en intensité, mes doigts ont tremblé, à ce moment, j’ai compris : il fallait que « j’accepte » d’écrire ; dès ce moment, cette gêne qui ne m’avait jamais quittée a disparu ; c’est quand « on m’appelle » qu’elle revient, c’est-à-dire lorsque je dois prendre un message.
POUR LES PERSONNES DANS LE DEUIL.
Toutes ces facettes de ma médiumnité sont des atouts pour intervenir auprès des personnes qui sollicitent mes soins mais aussi pour aider celles dans le deuil. C’est bien dans cette situation que ma
« qualité » de médium prend tout son sens. si les messages me sont transmis principalement par des Guides, ils le sont également directement ou pas, par des proches qui veulent témoigner très fort que
non, la vie ne s’arrête pas là où on croit qu’on la laisse et qui tiennent à réconforter leurs proches, parents, amis, par leurs témoignages et leur assurance, preuves à l’appui, qu’ils vivent autrement
mais restent présents et soucieux de ceux qu’ils ont laissés sur terre
.MEDIUM ET GUERISSEUSE.
Comme toujours, je restais à l’écoute, attentive aux soucis des uns et des autres, parfaitement entourée de guides bienveillants qui me soufflaient les images, les mots, comme encore maintenant, et
c’est logiquement que j’ai été amenée à soulager également les maux physiques. Une autre branche s’accrochait à mon étoile. J’ai compris qu’il me fallait accepter cette voie qui s’ouvrait à moi, c’était
ma voie.Tout de suite, j’ai su, j’ai senti, ressenti.
COMMENT ÇA SE PASSE.
Mes mains sont guidées, je les pose là où je ressens les problèmes. (C’est à travers mon propre corps que je ressens les douleurs, problèmes…)Rapidement, je soulage les douleurs, je calme, j’apaise,
les bienfaits ressentis ne se limitent pas aux seuls endroits douloureux, les personnes se détendent, ressentent un bien-être profond, s’endorment souvent.
(Ce phénomène intrigue et des scientifiques s’y intéressent.)
Pour des raisons pratiques, ce n’est qu’exceptionnellement pour les brûlures que je traite par téléphone.
TRES IMPORTANT: Je ne fais aucune manipulation
Les entorses se remettent instantanément, (Voir la vidéo par exemple prise par la compagne de ce jeune para en cliquant sur ce lien ).
que ce soit les pieds, les genoux, les épaules etc. ils bougent tout seuls ce qui impressionne toujours les personnes concernées. La liste est longue à présent de tous ceux qui ont pu se rendre compte de
ce phénomène. (ça fait près de 30 ans que je pratique) ; parmi toutes ces personnes, il y a beaucoup de sportifs, des clubs font appel à moi, mais aussi des militaires parachutistes car je suis à proximité
de la caserne ! La liste des hernies discales est tout aussi longue ; je les remets en place, sans les toucher bien entendu. Les témoignages des personnes qui ont évité les interventions chirurgicales sont
très nombreux et le « bouche à oreille » dans ce domaine fonctionne beaucoup. (Même dans le milieu médical)
Je n’ai aucun à priori et mes limites sont celles que le « Ciel » me donne.
Je soulage toutes sortes de problèmes comme le zona, l’eczéma, les verrues, les migraines, asthme, bronchite, toutes les formes de stress, anxiété, insomnies, les douleurs de dos, nuque, tendinites, l’arrêt du tabac… Concernant des pathologies plus lourdes, je ne sais jamais à l’avance si je pourrai ou pas « guérir » un malade, mais il se passe toujours quelque chose. J’ai eu des résultats positifs pour une paralysie de tout un côté suite à un a.v.c., plusieurs cas de bégaiement, fibromyalgie…. Voir des témoignages écrits. Les choses se passent de la même façon avec une photo ou par téléphone. Lorsque je « travaille » mes mains irradient une lumière dorée.
La 1ère photo a été prise par deux jeunes femmes venues pour un membre de leur famille hospitalisé sur Limoges. La 2ème par un officier de gendarmerie avec un téléphone portable, la 3ème par une autre personne avec un appareil numérique. Toutes ces personnes étaient venues pour des soins
.Je n’ai aucun à priori et mes limites sont celles que le « Ciel » me donne.
Je soulage toutes sortes de problèmes comme le zona, l’eczéma, les verrues, les migraines, asthme, bronchite, toutes les formes de stress, anxiété, insomnies, les douleurs de dos, nuque, tendinites, l’arrêt du tabac… Concernant des pathologies plus lourdes, je ne sais jamais à l’avance si je pourrai ou pas « guérir » un malade, mais il se passe toujours quelque chose. J’ai eu des résultats positifs pour une paralysie de tout un côté suite à un a.v.c., plusieurs cas de bégaiement, fibromyalgie…. Voir des témoignages écrits. Les choses se passent de la même façon avec une photo ou par téléphone. Lorsque je « travaille » mes mains irradient une lumière dorée.
La 1ère photo a été prise par deux jeunes femmes venues pour un membre de leur famille hospitalisé sur Limoges. La 2ème par un officier de gendarmerie avec un téléphone portable, la 3ème par une autre personne avec un appareil numérique. Toutes ces personnes étaient venues pour des soins
(Ce phénomène intrigue et des scientifiques s’y intéressent.)
Pour des raisons pratiques, ce n’est qu’exceptionnellement pour les brûlures que je traite par téléphone.
LES ANIMAUX AUSSI.
Si ma sensibilité et ma compassion vont vers toutes les personnes, elles vont également avec la même intensité et le même amour vers tous les animaux pour qui je ressens de la même façon les points douloureux, leur stress, leurs souffrances, mais aussi leur confiance, c’est pour moi un réel bonheur que de pouvoir les soulager et les aider. Les animaux sont des êtres vivants et sensibles, à ce titre ils peuvent souffrir, ils communiquent à leur façon, c’est nous qui ne comprenons pas leur langage.
AIMONS-LES, RESPECTONS-LES.
LA VOYANCE.
CONFERENCES.
Si ma sensibilité et ma compassion vont vers toutes les personnes, elles vont également avec la même intensité et le même amour vers tous les animaux pour qui je ressens de la même façon les points douloureux, leur stress, leurs souffrances, mais aussi leur confiance, c’est pour moi un réel bonheur que de pouvoir les soulager et les aider. Les animaux sont des êtres vivants et sensibles, à ce titre ils peuvent souffrir, ils communiquent à leur façon, c’est nous qui ne comprenons pas leur langage.
AIMONS-LES, RESPECTONS-LES.
Cette jument, Isia, était condamnée (le vétérinaire l’avait vue plusieurs fois, elle souffrait atrocement; je l’ai soulagée et guérie instantanément; Dès que j’ai pu, le mois suivant, je suis venue la voir,
(Fousseret), et j’ai reçu une grande émotion: de loin dans le pré, elle m’a reconnue, trottant directement vers moi, (nous étions trois personnes avec son maître), elle a posé la tête contre ma poitrine,
je l’ai caressée, je n’oublierai jamais ce moment.
Dans ce domaine non plus, je n’ai pas d’à priori, ainsi j’ai pu soulager des chats pourtant condamnés, des chiens, des chevaux, et même un perroquet. Voir les photos dans la galerie.
Dans ce domaine non plus, je n’ai pas d’à priori, ainsi j’ai pu soulager des chats pourtant condamnés, des chiens, des chevaux, et même un perroquet. Voir les photos dans la galerie.
LA VOYANCE.
La voyance est également une forme d’aide et c’est dans ce but que je la mets au service des personnes. Cette autre forme de don n’est pas pour déstabiliser en annonçant je ne sais quelle mauvaise nouvelle,
ni pour donner les numéros du loto, mais pour éclairer, aider à sortir d’une impasse, voir les événements et situations d’une manière positive car il y a toujours le soleil derrière les nuages. Je me sers
d’un jeu de cartes, elles précisent des repères, mais je fais aussi et surtout appel à mes intuitions, images et perceptions diverses.
CONFERENCES.
Pour tous ceux qui sont intéressés, associations, groupes… vous pouvez faire votre demande en utilisant le formulaire et en donnant le plus de précisions possibles, les raisons de votre demande,
les coordonnées, les dates etc.
Les conditions sont à prévoir en fonction de la distance. J’ai fait plusieurs conférences sur Nancy par exemple, pour des groupes venus d’associations d’aide aux personnes en deuil.
J’en fais également dans la proximité de la région : dans le Gers à Lectoure, à St Jean. (Assoc. « Les Papillons… ET AUSSI DES EMISSIONS DE RADIO. (Depuis 1990)
Radio + Toulouse, Radio Axe-Sud Muret, Radio-Coteaux St-Blancard dans le Gers, toujours en direct. En principe, j’ai un thème que j’expose suivi de questions/réponses. Je possède les enregistrements.
Les conditions sont à prévoir en fonction de la distance. J’ai fait plusieurs conférences sur Nancy par exemple, pour des groupes venus d’associations d’aide aux personnes en deuil.
J’en fais également dans la proximité de la région : dans le Gers à Lectoure, à St Jean. (Assoc. « Les Papillons… ET AUSSI DES EMISSIONS DE RADIO. (Depuis 1990)
Radio + Toulouse, Radio Axe-Sud Muret, Radio-Coteaux St-Blancard dans le Gers, toujours en direct. En principe, j’ai un thème que j’expose suivi de questions/réponses. Je possède les enregistrements.